FRANCOIS GIRARD

Talentueux écrivain

et grand artiste

François Girard est un talentueux écrivain, auteur de romans, de poésies, et également un peintre exceptionnel. Il réside dans le Maine-et-Loire près d'Angers.

Il a remporté de très nombreux prestigieux prix d'écriture.

Contact direct avec l'artiste :

gardros@hotmail.com

Site personnel de l'artiste :

gardros.wordpress.com

" Qui-suis-je ? Poète Écrivain Romancier…

Touche à tout !!!  Peintre à l’occasion…

On en passe et des meilleures!!."

François Girard

A découvrir, le talent exceptionnel du peintre et sculpteur François Girard dans notre rubrique peinture.

François GIRARD voit le jour à Langres le 15 octobre 1941. Plongé dans un milieu bourgeois, à la limite du calotin, qui ne lui convient pas, il s’en échappe dès la fin de ses études secondaires. Dès lors, une existence mouvementée, de sa Lorraine natale le conduit en région parisienne, où il séjourne pendant vingt ans avant de se fondre dans la douceur angevine.

Touche à tout, que ce soit en peinture, musique, etc… rien ne le laisse indifférent. Curieux, il n’est satisfait que lorsqu’il sait qu’il peut. Mais avant tout, une seule chose l’anime : une soif insatiable de vivre, de croquer la vie sous toutes ses formes.

Rien, rien dans l’existence de François ne laisse présager du futur. Pas même la centaine de pages dans lesquelles il crie le désarroi de sa première grande souffrance amoureuse. Non ! Tout cela dort et croule sous la poussière au grenier jusqu’au jour où un nettoyage manque de mettre à la poubelle un fatras de feuilles jaunies et un petit carnet rouge. Poussé par on ne sait quoi, François décide de retranscrire ses anciens écrits et

En janvier 1995, il publie à compte d’auteur « PSYCHOSES Ou Les Droits De L’Esprit » un recueil de 196 pages où à travers des poèmes, des réflexions, des maximes, le lecteur, de 7 à 77 ans, trouve sa part de rêve, d’humour… d’Amour…

Mais, cela ne lui suffit pas. Le démon de la plume s’est emparé de lui. Parallèlement à une cascade de poèmes, contes pour enfants, il se lance dans la grande aventure du roman. Aimant aller au fond des choses, il devient membre actif d’associations littéraires. Il adhère aux Poètes de l’Amitié de Dijon, à l’Ecole de la Loire de Blois, aux Amis des Poètes de l’Ecole de Rochefort… Enfin membre de l’association La Plume Angevine, et excellant en poésie classique pure, il en devient Vice-Président.

Perfectionniste, François veut connaître la valeur de ses écrits.

Alors, il se met à présenter ses œuvres à maints concours littéraires, dont il collectionne les prix depuis 1995, (Prix du roman, Prix du Recueil Edité, Grand prix de poésie classique, Prix du sonnet, de l’humour poétique même, etc…) Parallèlement, il se laisse lire par un éventail de lecteurs et de critiques de plus en plus ouvert. Un éventail où, pour ne citer qu’eux, nous pouvons trouver Monsieur Jacques Chirac, Monsieur Philippe Séguin

En juin 2001, encouragé par un ensemble d’éloges, et quatre prix littéraires : Le prix Jean-Claude Izzo, le prix des Arts Et Lettres De France, celui de l’Académie Littéraire Et Artistique De Lutèce, et Le Prix de l’Académie Littéraire Et Artistique Des Ménestrel De France au sujet de son manuscrit « Ces Gens-Là », faisant fi de sa réserve naturelle, sous l’égide des ex Editions Sekhmet, il publie son premier roman.

Ces Gens-là de François Girard

Un roman dans lequel cohabitent, comme il nous l’explique : Deux mondes parallèles, cloisonnés.

Dans l’un, Elsa, Antoine, Georges ou Ces Gens-Là, dans l’autre, moi en train de mordre avec insouciance les pommes de la vie. Indifférent à leur existence, j’eus tôt fait d’oublier les embrassades humides d’Elsa, quand, gamin en culottes courtes je la croisais dans notre buanderie et devais satisfaire aux civilités en usage. Il en fut de même de l’écuellée dominicale des restes culinaires de la semaine offerte comme une obole à Georges l’ancien bagnard. Que, Ces Gens-Là, ces êtres du début du siècle, aient vécu deux guerres, subi sans jamais se rebeller les privations, les sacrifices, les brimades ainsi que les humiliations, je ne m’en souciai le moins du monde. Gens sans importance, gommés, ils s’effacèrent.

Et puis, a-t-on déjà vu les torchons bouillir avec des serviettes ?

Ecrivain romancier, bon poète, François GIRARD n’a pas été, ne sera pas, il est. Ses écrits dans leurs élans de vérité ont des éclats d’éternité, ils ne vieillissent pas.

Le Chant du Coucou - François Girard

Et, quand il ne manie pas sa plume, François, s’arme de pinceaux.

François s’est même initié à la technique de bronze à la cire perdue.

Naissance - Huile sur toile - François Girard

Bronze à la cire perdue - François Girard